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Agriculteurs sénégalais à Djilakh© AFP |
La ruée des pays et des groupes étrangers vers l’or vert africain inquiète experts et ONG. Reste que le phénomène est difficilement quantifiable, nombre d’annonces d’accords n’étant pas suivies d’effet.
Alem a trouvé du travail depuis peu. Ce paysan éthiopien qui avait du mal à joindre les deux bouts avec son lopin de terre gagne désormais 1 euro par jour pour travailler sur les 300 000 ha du groupe indien agroalimentaire Karuturi. Maïs, riz, palmier à huile… L’arrivée des investisseurs indiens dans les plaines verdoyantes de la rivière Tekezé, dans le nord du pays, n’est pas le fruit du hasard. Read more...
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